Tel St George terrassant le dragon
(ou St Michel, si vous avez une préférence), un pelliste fort doué a terrassé la butte qui faisait comme une verrue au milieu de notre champ de pissenlits et de pâquerettes.
L'historique de cette butte qui n'avait rien de féodal date des premiers travaux de démolition: souvenez-vous des granges branlantes qui entouraient la maison.
Ce sont elles qui, réduites à l'état de tas de bois et de ferraille, ont constitué cet élégant amas qui ,bien que s'aplatissant d'année en année, et s'ornant de végétation variée, faisait un peu injure à notre home si design, dear.
Il y avait aussi, bien sûr, les restes de feu le chêne (snif), dont l'inépuisable carcasse devrait continuer à nous chauffer encore longtemps...
Il y a un an, déjà, j'avais profité des vacances pour bouter le feu à l'ennemi et passer quelques journées fort agréables pour mes lombaires, à extraire toute la ferraille que j'ai pu trouver enchevêtrée à cet endroit. Belle pêche, ma foi...
Depuis, l'oisiveté nous gagnant, je veux dire: fort occupés par d'autres travaux, la chose était restée en suspens. Mais aujourd'hui, c'est réglé:
admirez comme, en deux coups de godet, l'homme de l'art a su aplanir les difficultés.
Bon, ça, c'est fait.
Après: ........!!!!!