ENFIN LE FROID!
Ce week-end, j'ai ouvert les volets sur un lever de soleil particulièrement réussi...
Le paysage avait tout blanchi autour de chez nous. Un beau soleil faisait étinceler tout ce givre.
Un bon thé brûlant à la main, j'ai eu le plaisir de voir rosir en quelques minutes les bois, puis les champs environnants.
C'est dans des moments pareils qu'on goûte tout le plaisir d'être bien installés dans notre maison...
Je me disais qu'après une bonne vingtaine de déménagements, et pour avoir vécu en ville, à la campagne, en France et dans plusieurs autres pays, en pavillon, en HLM, en logement de fonction, en maison à rénover ou en mobil-home (pour résumer), j'apprécie d'être posée en famille dans ce petit coin du Gers.
Voilà! C'était la minute "sachons apprécier ce que nous avons"!
Le temps de ces doctes cogitations, le soleil était vraiment sorti: je guettais le passage d'éventuels chevreuils (c'est bien leur heure), mais c'est une bande de petits rouge-queues qui a commencé à sautiller devant la fenêtre; ils ont déjà repéré l'endroit où je leur laisse les miettes, les bougres.Et une fois la cuisine inondée de soleil, Nina s'est installée à son désormais poste préféré; pour l'anecdote, elle s'y trouve si bien qu'elle devient peu réactive et s'est déjà retrouvée deux fois enfermée entre la vitre et le volet, lorsque nous procédons à la fermeture vespérale du bunker.
Ces premiers vrais froids depuis que la pompe à chaleur est installée allaient-ils nous permettre de tester sa capacité maximum? Que nenni! Car si froid il y a eu (dehors), le soleil était bien présent; c'est donc tous radiateurs éteints mais néanmoins dans une douce chaleur que la journée s'est déroulée. Il a même fallu baisser en partie les volets pour pouvoir déjeuner sans cuire sur place! Au coucher du soleil, on a remis en marche les ventilo-convecteurs pour la soirée.
La maison, si elle n'est pas totalement passive, répond donc tout de même au-delà de nos espérances à nos souhaits d'économie de chauffage!
Le paysage avait tout blanchi autour de chez nous. Un beau soleil faisait étinceler tout ce givre.
Un bon thé brûlant à la main, j'ai eu le plaisir de voir rosir en quelques minutes les bois, puis les champs environnants.
C'est dans des moments pareils qu'on goûte tout le plaisir d'être bien installés dans notre maison...
Je me disais qu'après une bonne vingtaine de déménagements, et pour avoir vécu en ville, à la campagne, en France et dans plusieurs autres pays, en pavillon, en HLM, en logement de fonction, en maison à rénover ou en mobil-home (pour résumer), j'apprécie d'être posée en famille dans ce petit coin du Gers.
Voilà! C'était la minute "sachons apprécier ce que nous avons"!
Le temps de ces doctes cogitations, le soleil était vraiment sorti: je guettais le passage d'éventuels chevreuils (c'est bien leur heure), mais c'est une bande de petits rouge-queues qui a commencé à sautiller devant la fenêtre; ils ont déjà repéré l'endroit où je leur laisse les miettes, les bougres.Et une fois la cuisine inondée de soleil, Nina s'est installée à son désormais poste préféré; pour l'anecdote, elle s'y trouve si bien qu'elle devient peu réactive et s'est déjà retrouvée deux fois enfermée entre la vitre et le volet, lorsque nous procédons à la fermeture vespérale du bunker.
Ces premiers vrais froids depuis que la pompe à chaleur est installée allaient-ils nous permettre de tester sa capacité maximum? Que nenni! Car si froid il y a eu (dehors), le soleil était bien présent; c'est donc tous radiateurs éteints mais néanmoins dans une douce chaleur que la journée s'est déroulée. Il a même fallu baisser en partie les volets pour pouvoir déjeuner sans cuire sur place! Au coucher du soleil, on a remis en marche les ventilo-convecteurs pour la soirée.
La maison, si elle n'est pas totalement passive, répond donc tout de même au-delà de nos espérances à nos souhaits d'économie de chauffage!